Votre alternative éco-responsable
Emissions de substances toxiques dans l’atmosphère, contamination des élevages à proximité et effets incommodants pour le voisinage, peuvent être évités grâce à notre solution.
Cette prestation réservée au monde viticole offre aujourd’hui :
- une démarche vers la réduction de l’impact carbone,
- une pratique cohérente avec les engagements des inter-professions (ex : SME, CEC…),
- une diminution des risques liés à l’accord de dérogations,
- une attestation de ramassage fournie,
- un certificat de décarbonation qui vous permet d’obtenir une compensation carbone* auprès de Carbonapp,
- sous condition, une rétribution vous sera versée.
Décarboner la filière viticole de notre territoire
QUELQUES CHIFFRES
Pour comparaison, 1 hectare brûlé à l’air libre émet
22 000 kg CO2e*,
C’est autant d’émissions que pour fabriquer, consommer ou parcourir …
* CO2 équivalent : chaque gaz à effet de serre est ramené à un équivalent en CO₂ selon son pouvoir de réchauffement.
SOURCE – ADEME : https://monconvertisseurco2.fr
La compensation carbone
Comment ça marche ?
Après la collecte :
- Vous signez mandat autorisant Carbonapp à rassembler l’ensemble des pièces nécessaires pour générer et faire vérifier les crédits carbone, à les inscrire dans un registre qui garantit le respect des contraintes juridiques et à proposer ces crédits carbone aux financeurs qui souhaitent entrer dans une logique de compensation volontaire.
- Une fois les crédits vendus, dans un délai de 3 à 12 mois vous reçevez l’équivalent financier de vos crédits carbone. Cette somme représente jusqu’à 90% du coût de collecte facturé par Vinea Énergie.
Le brûlage à l'air libre
Le cadre légal
Un cadre légal méconnu et impraticable ne facilite pas le brûlage des coproduits viticoles.
Au-delà de l’arrêté préfectoral (Article L541-3 (12 février 2020) du Code de l’environnement) interdisant ce dernier, le Règlement Interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies impose des conditions drastiques de mise en place rendant quasiment impossible la pratique, et n’offrant que très peu de périodes permettant de la réaliser.
Des conditions très contraignantes
- 100 m minimum de toute végétation forestière
- 40 m3 maximum par foyer
- Bande de 5 m de sable blanc autour du foyer
- Vent max de 18 km/h
- Veille constante lors de la combustion
- Réserve de 500 L d’eau à proximité